Microbillets

Il y a quelques mois, j’ai délaissé les réseaux sociaux privés (Facebook, Twitter et Cie.) et j’explore les réseaux ouverts. Mastodon me permet de me connecter à toutes personnes hébergées sur les serveurs utilisant le protocole ActivityPub. L’ensemble de ces serveurs est appelé Fediverse. Vous pouvez me retrouver là-bas en suivant ce lien. Mon compte est hébergé sur un serveur québécois appelé Jasette.facil. Voici quelques-unes de mes dernières publications :


Pour mieux goûter le printemps et saisir ce qui se passe au-dessus de nos têtes : 5 trucs pour apprendre à reconnaître les chants d’oiseaux : natureenvironnementblog.ca/202

Passerin indigo (Passerina cyanea) sur des pousses d'érable. Photo : Jean-Maxime Pelletier
Passerin indigo (Passerina cyanea) sur des pousses d’érable. Photo : Jean-Maxime Pelletier

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Bouton de partage Mastodon pour WordPress.com

Les boutons de partage sont omniprésents, même si peu de gens les utilisent réellement. Leur simplicité est une gracieuseté des GAFAM qui s’en servent pour récolter des données. Ces boutons participent également à la promotion de ces réseaux. Si on les voit partout, c’est qu’ils doivent être indispensables.

Mastodon se démarque des réseaux privés en étant autohébergé, libre et décentralisé. Les utilisateurs de Mastodon évoluent sur un réseau décentralisé de serveurs (appelés instances) reliés les uns aux autres au sein d’une fédération. La décentralisation complique un peu le partage d’une publication à l’aide d’un bouton. Pour déterminer sur quelles instances envoyer la publication, il faut utiliser une application tierce. J’ai adopté la seule que j’ai trouvée avec une traduction française efficace, sharetomastodon.github.io (Merci aux contributeurs !) Lire la suite

Mes outils d’écriture

Octobre, déjà! Depuis le début de la pandémie, j’ai l’impression que le temps s’accélère. N’empêche que je ronge mon frein en attendant le début du National Novel Writing Month (NaNoWriMo pour les intimes) en novembre. La hâte de plonger dans ce défi d’écriture se dispute à l’inquiétude de ne pas y arriver. J’en suis à l’étape de la préparation du roman à écrire. J’ai mis en place les grandes lignes de l’histoire. De nombreuses questions restent en suspens, mais je sens que l’on s’affaire dans l’arrière-boutique de mon esprit. Je dois faire confiance à ce qui n’est pas pleinement conscient, au corps, aux rêves et au subconscient.

Technophile, j’ai choisi avec soin les outils qui m’accompagneront dans ce mois d’écriture. L’ampleur du défi (50 000 mots en 30 jours) m’a fait renoncer à l’idée d’écrire à la main. J’ai longtemps utilisé Ulysses pour la rédaction, charmé d’abord par son nom puis par son design épuré. Malheureusement, ce logiciel ne fonctionne que sur Mac. J’ai donc cherché une solution de rechange et j’ai découvert Scrivener. Lire la suite