Microbillets

Il y a quelques mois, j’ai délaissé les réseaux sociaux privés (Facebook, Twitter et Cie.) et j’explore les réseaux ouverts. Mastodon me permet de me connecter à toutes personnes hébergées sur les serveurs utilisant le protocole ActivityPub. L’ensemble de ces serveurs est appelé Fediverse. Vous pouvez me retrouver là-bas en suivant ce lien. Mon compte est hébergé sur un serveur québécois appelé Jasette.facil. Voici quelques-unes de mes dernières publications :


Pour mieux goûter le printemps et saisir ce qui se passe au-dessus de nos têtes : 5 trucs pour apprendre à reconnaître les chants d’oiseaux : natureenvironnementblog.ca/202

Passerin indigo (Passerina cyanea) sur des pousses d'érable. Photo : Jean-Maxime Pelletier
Passerin indigo (Passerina cyanea) sur des pousses d’érable. Photo : Jean-Maxime Pelletier

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Ne lisez plus les nouvelles !

« Ce texte est un antidote aux nouvelles. Il est long. Et vous ne serez probablement pas en mesure de le lire en diagonale. Cette habitude de consommer des nouvelles de façon compulsive entraîne chez la plupart des gens la perte de l’habitude de lire et des difficultés à absorber l’information d’un texte de plus de quatre pages. Cet article vous montrera comment sortir de ce piège, si vous n’y êtes pas déjà plongé trop profondément… » — Rolf Dobelli, Avoid News, Towards a Healthy News Diet (traduction libre)

Paru il y a plus de 10 ans, sur le blogue de Rolf Dobelli, ce billet n’a rien perdu de sa pertinence. Au contraire, la tendance actuelle des médias traditionnels à suivre le rythme des médias sociaux et les frontières de plus en plus floues entre informations, opinions et divertissement rendent la fréquentation des nouvelles encore plus nocives. L’auteur propose de faire un pas de côté et de réfléchir aux impacts de cette surconsommation. Que signifie « être bien informé »? À lire ici (en anglais) : 🔗 Avoid News (PDF, 415 Ko)

Pour en savoir plus

M’échapper des réseaux sociaux

J’y pensais depuis longtemps. Mais il m’a fallu un coup de tête pour passer à l’acte. À coup de clics, j’ai désactivé ou supprimé un à un mes comptes sur les médias sociaux. Ces dernières années, j’ai remarqué que ma présence sur ces réseaux avait un impact de plus en plus négatif sur ma créativité, sur ma vie sociale et sur ma santé mentale. En plus d’accaparer mon temps et mon attention.Pas de médias sociauxLe prix à payer

En échange d’une promesse de visibilité et de « découvrabilité », les médias sociaux m’ont poussé à publier de plus en plus régulièrement. J’y ai offert le meilleur de mon travail et le temps que j’ai consacré à ces publications a augmenté au fil des années. C’était un travail sans fin puisqu’après quelques heures ou quelques jours, chaque publication perd de sa valeur et disparaît des fils d’actualité. Seul ce qui est nouveau est intéressant. Lire la suite