Illustration réalisée pour le cours Watercolor Illustration with Japanese Influence de Flor Kaneshiro sur Domestika. Inspirée du travail de l’illustrateur Romain Simon qui m’a fait rêver, enfant.
imagination
Boy & the World, la rébellion de l’imagination
C’est mon professeur de lay-out qui m’en a parlé le premier. Il croit que j’erre quelque part entre le réalisme et la stylisation (qu’il appelle l’allégorie). Pour lui le film Boy & the World (O Menino e o Mundo) est l’exemple parfait d’une stylisation à la fois extrême et parfaitement réussie. Le soir même, je regardais une entrevue d’Ed Hooks, homme de théâtre et auteur d’Acting for animation. Il citait lui aussi Boy & the World comme un exemple, mais cette fois-ci du jeu d’acteur des personnages. Il fallait que je voie ce film.
Visuellement, le film est un enchantement. Le réalisateur brésilien Alé Abreu a choisi d’utiliser au maximum les textures de la peinture, du papier, des crayons à colorier. Le personnage principal est un enfant de sept ans, simplifié à l’extrême, mais extraordinairement expressif. Le scénario qui se développe en spirale est parfaitement cohérent avec le visuel et le propos. C’est un film brillant, émouvant et une prouesse technique.
Rencontre du 3e type
Couleurs terminées pour ce dessin créé l’an dernier dans le cours de schématisation. L’histoire reste à inventer…
Gizmo
Voici les six premières planches couleur de Retrouver Gizmo, une histoire sur laquelle je travaille depuis le mois de janvier. Je me débrouille un peu mieux avec la couleur. Bonne lecture !
Retrouver Gizmo
Depuis plusieurs semaines, je travaille sur dix planches qui seront publiées dans le prochain numéro de Vestibulles. J’ai presque terminé ! J’ai choisi de travailler avec 4 nuances de gris et j’ai ajouté des textures en tentant (très maladroitement) d’imiter Chloé Cruchaudet. C’était vraiment beaucoup trop de travail ! Mes prochains essais seront plus simples. Voici la première planche :
La véritable histoire commence à la page 2, vingt ans plus tard, alors que Milan Baksi (celui qui a les cheveux sombres) tente de retrouver son ami d’enfance. J’avais envie de dessiner un homme qui déambule dans une ville trop grande.
Le Vestibulles devrait être lancé le 26 mai dans une salle sombre du Cégep du Vieux-Montréal. Venez nous voir lors du lancement (la bière est gratis).