Cinq courts métrages

La session s’achève. Jusqu’ici, c’était la plus exigeante. Je suis sur les genoux. Dans un courriel, un prof nous encourage à réfléchir à la direction artistique de notre projet de film pendant l’été. Pas de vacances pour la classe étudiante ! Pour m’encourager et pour m’inspirer, je revois les films réalisés par d’anciens étudiants. Tous ces films ont été fait avec des contraintes de temps et de moyens similaires à celles avec lesquelles je devrai composer.

Icare et le géant, un film de Simon Leclerc, 2011. Pour l’esthétique de l’ensemble et le rythme. Certains plans (le 09 par exemple) sont particulièrement réussis.

Om, un film de Sanaa Legdani, 2010. Pour la recherche visuelle et la simplicité de départ de l’histoire.

Flamësh, un film d’Élodie Robillard, 2014. Pour les ambiances lumineuses et l’animation des personnages.

Épouvantable épouvantail, un film de Vanessa Lalonde-Deguire, 2014. Pour l’esthétique, la fluidité des mouvements et l’efficacité de la montée dramatique.

Noir Manhattan, un film de Maude D’Amboise-Courcelles, 2015. Pour l’esthétique, cette façon de jouer sur les codes du cinéma de genre. Et pour ce qu’ajoute une narration efficace.

Voir d’autres courts métrages

Tous les films réalisés par les étudiants du département se retrouvent dans cette galerie. Pour voir les films des finissants de l’école des Gobelins à Paris (réalisés en équipe avec plus de temps et de moyens), c’est ici. Il y a aussi ceux de la California Institute of the Art (CALARTS). Et l’inventivité des courts de l’ONF.

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